altChez les patients infectés par le VIH qui initient un traitement antorétroviral à une phase avancée de l’infection, un traitement additionnel par du maraviroc, une molécule capable de prévenir l'entrée du virus VIH-1 dans les cellules cibles mais également de moduler les réponses immunitaires, n’apporte pas de bénéfice.

C’est ce que montrent les résultats de l’essai clinique ANRS Optimal, essai randomisé contre placebo promu par l’ANRS en collaboration avec plusieurs unités de recherche Inserm, mené sur plus de 400 patients vivant en Espagne, Italie et France. Le détail de l’étude est publié aujourd’hui dans la revue Annals of Internal Medicine.