Comment déterminer quelles crèmes ou quels sérums anti-âge protègent au mieux la peau ? Quels indicateurs de confiance proposer au consommateur pour l’aider à choisir ses produits cosmétiques ? En mesurant et en quantifiant le dommage moléculaire selon les produits appliqués. Oxiproteomics le fait.
Méthode sans précédent dans l’univers de la beauté et de la santé dermatologique, la technologie mise au point par Oxiproteomics, startup française, permet enfin de mettre en évidence et de quantifier le degré de protection de la peau selon les produits appliqués. « Notre technologie va ouvrir de nouvelles frontières au traitement anti-âge. » Martin Baraibar, président d´Oxiproteomics.

Depuis 20 ans la Recherche s’évertue à comprendre les mécanismes d’oxydation de la peau afin d’accompagner les laboratoires pharmaceutiques et cosmétiques dans l’élaboration de produits de protection plus efficaces. Aucune des méthodes appliquées jusqu´ici ne permettait pourtant de visualiser et de quantifier - simultanément - les dommages occasionnés à la peau. De même, ces méthodes ne permettaient pas aux consommateurs et aux marques de bénéficier de données tangibles et chiffrées en matière de protection des produits dermo-cosmétiques.

Installée à Paris, sur le campus de Jussieu de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC), OxiProteomics a développé un outil unique, l’Oxi-DIGE, procédé ayant fait l’objet d’un dépôt de brevet.

La start-up est composée d’une équipe de scientifiques de renommée internationale dans le domaine du vieillissement et du stress oxydant et travaille déjà avec des leaders de la cosmétique française (exemple : L’Oréal).