altAlors que la 10e conférence sur l'infection par le VIH organisée par l'IAS s’ouvre (21 au 24 juillet 2019) à Mexico, vous trouverez ci-dessous les principales communications prévues lors de ce grand rendez-vous international soutenu par l'ANRS.

Nous diffuserons, au cours des prochains jours, en conformité avec les règles d’embargo imposées par la conférence, des communiqués relatifs aux résultats présentés en sessions orales portant notamment sur les études ANRS Reflate TB2, ANRS Ipergay, ANRS Prévenir et ANRS Quatuor.

- Les présentations orales :

L'étude ANRS Reflate TB 2 qui s'est déroulée de 2015 à 2018 s'est intéressée au raltégravir en comparaison avec l'efavirenz (en association avec la lamivudine et le ténofovir) chez 460 patients co-infectés par la tuberculose. Menée dans cinq pays différents (Brésil, Côte d'Ivoire, Mozambique, Vietnam et France), l'objectif de cette étude était de valider que le raltégravir est une alternative valide à l'efavirenz chez les adultes infectés par le VIH-1 n'ayant jamais reçu de traitements pour le VIH et traités par rifampicine pour une tuberculose.

Essai randomisé pour évaluer l'efficacité de la PrEP, l'étude ANRS Ipergay a débuté en 2012 en étroite collaboration avec l'association AIDES. Sa phase randomisée s'est terminée en 2015 et a depuis montré que la prise à la demande de PrEP chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (en France te au Canada) était un mode viable de prévention du VIH. Sa phase ouverte, débutée en 2014, et menée sur plus de 360 volontaires (dont 340 provenaient de la phase randomisée) souligne l'efficacité de la PrEP à la demande.

ANRS Prévenir, étude démarrée en 2017 en partenariat avec AIDES, évalue l'impact de la PrEP dans les populations à risque en Ile de France. Cette étude a inclus 3000 personnes en 2019 dont le suivi se poursuit actuellement.

ANRS QUATUOR est un essai multicentrique démarré en 2017, en ouvert, randomisé en 2 groupes parallèles de 318 patients, évaluant la non-infériorité d’un traitement de maintenance à 4 jours consécutifs sur 7 versus la poursuite du traitement antirétroviral en continu, chez des patients en succès thérapeutique sous ARV

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