En signant l’an passé un partenariat avec l’Institut national du cancer (INCa), Roche s’est engagé pour la première fois à mettre à disposition trois molécules innovantes de son pipeline associées aux tests génomiques tumoraux de dernière génération de Foundation Medicine pour soutenir la réalisation d’essais cliniques de phase précoce conduits par la communauté de recherche académique en oncologie et financés par l’INCa et la Fondation ARC pour la recherche contre le cancer. Focus sur ce projet de recherche partenariale public-privé qui ancre Roche comme un acteur de santé leader de l’open innovation en France.

Accélérer le progrès médical et l’accès aux innovations thérapeutiques

Bien qu’indispensable au progrès médical, scientifique et thérapeutique, l’innovation n’a de valeur que si elle répond aux besoins des patients. L’intelligence collective est en cela une formidable opportunité pour les acteurs de santé d’élargir et d’approfondir leur scope de connaissances des mécanismes moléculaires qui sont en jeu dans toutes les maladies. «Pour stimuler l’innovation, nous croyons au croisement des expertises et des connaissances», explique le Dr Vanessa Barué, Responsable médical pipeline et oncologie pédiatrique chez Roche Pharma France. «C’est dans cet esprit que nous inscrivons notre partenariat avec l’INCa et l’ouverture de Roche vers le monde académique dans la durée», poursuit-elle.

En misant ainsi très tôt sur l’open innovation, Roche permet aux chercheurs du public et du privé de dialoguer et travailler ensemble pour ouvrir de nouvelles voies de recherche et permettre aux médecins et à leurs patients d’accéder plus vite aux molécules de son pipeline et de ses tests génomiques de dernière génération, très en amont de leur mise sur le marché.

Améliorer la visibilité et l’attractivité de la recherche française de phase précoce

En permettant à des patients qui n’auraient pas accès à l’innovation de bénéficier de nouveaux traitements, ce type de collaboration permet aussi d’améliorer la visibilité et l’attractivité de la recherche française de phase précoce et d’ouvrir de nouveaux champs de développement pour les molécules innovantes.

«Plusieurs dizaines de projets d’études ont été envoyés par les investigateurs des 16 Centres d’excellence labellisés par l’INCa pour la recherche précoce (CLIP²), afin d’évaluer nos molécules en monothérapie ou en association dans de multiples indications de l’adulte et de l’enfant mais aussi dans des indications qui n’étaient pas prévues dans le plan de développement clinique initial de ces molécules», se réjouit le Dr Vanessa Barué. Leur évaluation, fruit d’une collaboration étroite entre les équipes de Roche et de l’INCa, a permis de distinguer des projets de recherche très prometteurs.

4 projets de recherche retenus[1] et de premiers résultats cliniques attendus dans les prochains mois

Les projets retenus sont menés aux Hospices civils et au Centre Léon Bérard de Lyon, à l’Institut Bergonié
de Bordeaux, et le centre hospitalier régional universitaire à Besançon. « Si les résultats cliniques sont positifs comme nous l’espérons, Roche devrait poursuivre le développement de ces molécules dans les indications investiguées », conclut le Dr Vanessa Barué.

En attendant, le rendez-vous est donné au congrès annuel de l’American society of cancerology (ASCO)
qui se déroulera à Chicago du 31 mai au 4 juin 2019 et à l’occasion duquel des résultats prometteurs sont notamment attendus en onco-pédiatrie.


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