En septembre 2019, dans le cadre de l’étude MONARCH 2, Lilly a annoncé un bénéfice en survie globale chez des patientes présentant un cancer du sein RH+/HER2- hormono-résistant et qui ont été traitées en première et deuxième ligne au stade métastatique par l’abémaciclib en association avec le fulvestrant.

Aujourd’hui, l’essai clinique de phase 3 MonarchE, évaluant les effets du traitement adjuvant par l’abémaciclib pendant deux ans associé à une hormonothérapie (HT) standard a montré une amélioration statistiquement significative de la survie sans maladie invasive (IDFS) comparé à l’hormonothérapie seule chez des patients atteints d’un cancer du sein RH+/HER2- au stade précoce et à haut risque de récidive.

L’abémaciclib associé à une hormonothérapie standard est ainsi le premier et seul inhibiteur des CDK4 et 6 à montrer ce bénéfice chez cette population de patients.

Ces données ont été présentées lors du symposium présidentiel du congrès 2020 virtuel de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO) et publiées simultanément dans le Journal of Clinical Oncology (JCO)

Lilly a annoncé le 20 septembre que l’abémaciclib, en association avec une hormonothérapie adjuvante standard, a réduit de manière significative le risque de récidive de cancer du sein de 25% par rapport à une hormonothérapie seule chez des patients atteints d’un cancer du sein précoce à haut risque de récidive avec récepteurs hormonaux positifs (RH+) et récepteurs du facteur de croissance épidermique humain 2 négatifs (HER2-)(HR: 0,747; IC à 95%: de 0,598 à 0,932; p=0,0096).

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